Le Corpus des lettres: lettresGordes

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  • doner le bon jour en passant à madame de Caseneuve et monsieur d’Apt pour

    estant habillé tout de noir et un chapperon derière l’espaule, comme nous

    Nous n’avons pas heu voz lettres du IXe et néantmoins,

    luy donner ung oyseau quand il sera par-delà,

    ladite ville de Vienne, mais aussy en ce que il

    cousté XIII s[ols]

    l’une est de vous avoir baillé une lignée aussi belle et d’aussi bone esperance

    larrest pour la blanque de Peccaix, les quelz en avoyent prins la

    estans [ici, declarat] quil avoit esleu Monseigneur le duc pour, après luy, entendre à ses affaires,

    Sil vous plaisoit descrire audit sieur

    disner à Sapt pour avoir de vous lettres et serey adverti de l’estat auquel est le

    le portons au deuil. Ses gens estoient semblablement tous vestus de noir.

    le roy en a receu de vous du Xe, ausquelles et

    que ne sera pas si tost comme j’estime.

    la chargé de huict mil livres pour sa cotte

    et six aultres de

    que vous l’heussiés sceu souhaitter ; laultre que je ne vous ay jamais veu [advenir]

    commission et la charge, et est ledit arrest ez mains du greffier

    et comanda que chascun lui escripvit coume lons faysoit au roy de Pologne.

    de St André de parler à mesdits sieurs

    faict de Cabanes. Madame la présidente de Fuveau en labscence de monsieur le

    Lon faict icy bruict que le sieur Strozy estant entré dans La Rochelle

    à celles du Ve, sa majesté faict response.

    comme si elle exedoit les aultres endeniers et

    toylles que [barré : mes]

    ne traverse, ne travail qui ne vous soyt reusés à honneur, dont vous avés

    du conseill que je soliciteray mespedier et la commission pour le payement

    du païs de votre partie et quil les priat de vous

    president son mari qui est an montagnes, voudoit parfaire leur menaige. Se parle

    pour s’embarquer, n’en n’a voulu bouger, disant avoir charge attendre la volunté

    Monsieur de Gargas et ses compagnons se portent bien, hors mis

    moyens, combien quil soit vray et cognu à

    mavés mandé par

    [f. 51] davantaige d’occasion de louer Dieu et vous consoler des afflictions, desquelles

    diceluy, le quel je vous porteray, ensemble les lettres pour estre

    en despecher le mandement, et que daillieurs

    lon de mil écus, encores que, ele presante et ne contredisant point, sondit mari pret

    du roy et est comme maistre de la ville. Toutesfois, on ne le tient pour certain

    que l’ung se deurt de la petitte vérolle. J’estime que leur

    chacung que en la ville de Grenoble, si ceulx

    Rivat pour faire

    il luy plaict vous visiter quelque foys. Quant au dernier poinct de votre lettre,

    dechargé des gabeles extraordinayres pour le sel non tyré. Laccord

    vous leurs en escripviez prumptement, il y aura

    tant à ele et à moy, me le promit pour III mil écus, lui disant … avec

    maistre vous escrit des novelles de votre filz. Je

    quy ont le moyen le voulloient desploier

    des propoinctz

    puys que vous vous reservés à vous en resouldre après que Dieu nous aura

    est passé pour le regard des participes et seigneur de Boigas, du quel

    moings de difficulté. Si sur icelle ou aultrement

    teles personnes il vous fault parler clerement mais le luy vandre pour 4000 écus …

    présente mes très humbles recommandations à votre bonne grâce.

    ung seul se treuveroit plus dargent que

    aux pages au pris

    doné quelque paix. Cela me donera encor plus denvye de vous aller

    je vous envoyeray bien tost la coppie. Il y a heu arrest à paris

    comme il vous plairra, vous avez besoing

    …………………… sont …… eu voulant estre meilleur

    Monsegneur, je prie Dieu qui vous conserve en bonne

    ne feront toute la ville de Vienne ; se questant

    de X s[ols] laulmone.

    veoir en ce cas là. Cependant, je me recommande très humblement

    par les commissayres sus noz instances, mays il est interloqutoy-

    de quelque somme en attendant que mondit

    m ………… vous les ……….

    santé et très longue vie. De Paris, ce XXIe jullet

    assés notoyre et cause que au despartement

    à votre bone grace, en priant Notre Seigneur quil vous done,

    re comme le precedant.

    compte sera cloz, je vous fournirey ce que je

    1572.

    venans dehors païs des sommes sil plaict

    monseigneur, en parfaicte santé très longue et très heureuse vie.

    Je oublioys à vous dyre que sur la plainte contenue audit caiet

    pourrey.

    Votre très humble serviteur

    quelquesfois au roy imposer sur les

    De Soleurre, le XXXe jour de janvier 1574.

    des recherches du procureur du roy au faict du sel, monsieur de

    Votre très humble et très obeissant serviteur